<420> damit von allem dem, so Ich Euch unter dem 6. dieses geschrieben und in der beigefügten secreten Instruction aufgegeben habe, kein Mensch in der Welt, er sei auch wer es wolle, das allergeringste erfahren noch einmal soupçonniren könne, als davon sonsten die Verantwortung lediglich auf Euch fallen würde. Es lieget Meinem Dienst besonders daran, dass niemand von denen Absichten, so Ich Euch wegen der dortigen Provinz gemeldet habe, das allergeringste merke, vielmehr jedermann das Gegentheil davon glaube, und dass, falls auch ein und anderer Umstand einiges Aufsehen geben möchte, Ihr alle Soupçons niederzuschlagen und es mit einer Defension des Landes bei jetzigen ernstlichen Conjoncturen zu bedecken suchen sollet. Wie Ihr dann übrigens versichert sein könnet, dass Ich zu der Euch bekannt gemachten Resolution nicht eher schreiten, noch die Euch gemeldete Ordre eher zusenden werde, bevor es nicht die alleräusserste Extremität erfordert, als worüber Ich Euch Meine Intentions nächstens noch weiter bekannt machen werde. Ich reposire Mich demnach lediglich, dass Ihr das Euch bekannte Secret bestens zu menagiren wissen werdet, und bin übrigens etc.

Friderich.

Nach dem Concept.


3525. AU ROI DE FRANCE A VERSAILLES.

Berlin, 8 mars 1749.

Monsieur mon Frère. Mon ministre d'État, le comte de Finckenstein, se rendant en conséquence de la permission que je lui en ai accordée, exprès à Paris, pour y recueillir la succession dévolue à sa belle-mère1 par le décès du sieur de Desneval de Saint-Maros,2 dont elle est incontestablement la plus proche et unique héritière, je prends la liberté de recommander ses intérêts, à cette occasion, à Votre Majesté, ne doutant point que Votre Majesté, portée comme Elle est à tout ce qui est juste et raisonnable, ne donne des ordres bien précis pour que mon dit ministre d'État soit mis, le plus promptement que faire se pourra, en possession de tout ce qui fait partie de l'héritage susdit, et qu'il puisse en disposer, selon qu'il le jugera convenable.

Je le prendrai pour une preuve essentielle de l'amitié que Votre Majesté m'a toujours promise, et je ne manquerai pas de lui en marquer ma vive reconnaissance, aussi souvent qu'il s'agira de La convaincre de la considération distinguée avec laquelle je serai à jamais, Monsieur mon Frère, de Votre Majesté le bon frère

Federic.

Nach der Abschrift im Archiv des Auswärtigen Ministeriums zu Paris.



1 Sophie Charlotte Reichsgräfin von Finckenstein-Gilgenburg, geb. Freiin von Dobrzenski, Tochter des Freiherrn Friedrich Bogislaw von Dobrzenski und der Esther Susanne Duquesne de Desneval.

2 Gestorben 26. September 1748.