<581> et sans prévariquer. Pour moi, je veux bien vous dire pour votre direction qu'il y a des avis de bon lieu qui assurent que la cour de Vienne faisait au moment présent tout ce qui dépendait d'elle pour tranquilliser les Russes et qu'elle tâchait de leur persuader qu'il leur serait convenable de ne point rompre dès à cette heure avec la Suède. Je ne comprends pas, après cela, quelles raisons la Russie peut avoir eues de faire encore des ostentations guerrières; j'espère cependant d'être en peu en état d'en pénétrer la véritable cause.
Federic.
Nach dem Concept.