<187>kanzler 1000 Dukaten, und 16,000 Dukaten in dem Fall offeriren sollen, wenn durch dessen Hülfe der Maréchal von Sachsen zum Herzogthum Kurland gelangen könnte. Ich weiss aber auch, dass er unverrichteter Sache von hier weggehen werde.

Wegen der chursächsischen Lehenempfangungsangelegenheit habe zu Folge allerhöchsten Kaiserlichen Befehls hier bereits die erforderlichen Passus gemachet. Der Grosskanzler hat mir versprochen, an den Grafen Keyserlingk mit nächstem dieserhalb das nöthige ergehen zu lassen. Ingleichen ist er bereits unter dem 26. October alter Zeit angewiesen worden, den mittelst seiner Relation vom 30. September von Frankreich angetragen sein sollenden Subsidientractat zu hintertreiben und hingegen mit Ew. Excellenz die chursächsische Accession zu unserer mit Russland habenden Allianz zu betreiben. Ich habe des Keyserlingk's Relation vom 30. September gelesen ; es ist leider daraus abzunehmen, dass er mit Leib und Seele sächsisch sei,1 er will halt noch immer beiden Höfen anrathen, Chursachsen einige Particulier - Convenienzien zu machen. Womit etc.

Graf von Hernes.


Nach der von Valory eingesandten Abschrift im Archiv des Auswärtigen Ministeriums zu Paris; die Beilage nach Abschrift der preussischen Cabinetskanzlei, ebendaselbst.


4007. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION BARON DE GOLTZ A MOSCOU.

Berlin, 6 décembre 1749.

J'ai été d'autant plus satisfait de votre rapport du 13 de novembre dernier et des circonstances intéressantes y contenues, que celles-ci confirment entièrement les avis qui m'étaient déjà entrés par un très bon canal de la convention que le sieur Panin proposerait en Suède.

Quant au reste, l'ami connu paraît désirer que je voulusse aider, en cela, aux vues de la Russie. Vous lui direz tout ouvertement, quoique d ailleurs en termes convenables, que nous avions eu tous les ménagements et tous les égards pour la Russie que celle-ci avait toujours pu se souhaiter de notre part, autant que de son côté elle nous avait témoigné le réciproque, seulement par quelques égards pour nous; mais que, après que la Russie s'était conduite envers nous de manière à perdre presque de vue les bienséances les plus ordinaires et les plus usitées, je ne voyais pas la moindre raison qui dût me porter à conseiller à la Suède de faire quelque chose dans l'affaire en question, qui serait diamétralement contre sa dignité, indépendance et liberté, à quoi je ne pourrais jamais entendre.

Au surplus, il serait fort à souhaiter que ce que vous mandez au sujet de Bestushew,2 pût s'accomplir enfin une bonne fois.

Federic.

Nach dem Concept.



1 Vergl. S. 82.

2 Vergl. S. 192.