<200> äussern. Sollte aber die Sache sich dadurch verzögert haben, dass man österreichscherseits gar zu impertinente Prétentions machen wollen und die Finalisirung der Affaire sich daran accrochire, so müssten Se. Königl. Majestät Sich endlich gefallen lassen, wenn der p. Seyferth von Breslau wegginge, und würden um so weniger etwas darnach fragen, als es alsdenn der wienersche Hof selbst wäre, der die Negociation in dieser Sache rompiret habe. Es würde aber alsdenn ganz ohnumgänglich nöthig sein, dass Ew. Excellenz besorgeten, damit eine deutliche Facti Species, worin die unbillige Praetensiones des österreichschen Hofes klar und verständlich gezeiget werden, abgefasset und fördersamst in Holland gedrucket, auch diensamer Orten publiciret werde, um denen Oesterreichern nicht die Zeit zu lassen, die Sache mit schwarzen Couleuren dem Publico vorstellig zu machen, Se. Königl. Majestät zu blamiren und das Public gegen Selbige zu präveniren.
Eichel.
Nach der Ausfertigung.
4034. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A PARIS.
Chambrier berichtet, Paris 15. December: „Plus je tâche de connaître les véritables sentiments de ce ministère sur le dessein qu'a la cour de Vienne de faire élire l'archiduc Joseph, quand le moment qu'elle croira favorable pour cela, sera venu, et plus je me persuade dans l'idée où je suis, que la France ne fera rien pour l'empêcher, par la conviction où elle est que ce serait une entreprise au dessus de ses forces et qu'elle y échouerait.“ | Berlin, 27 décembre 1749. J'ai reçu votre dépêche du 15 de ce mois. J'ai bien présumé que les ministres de France, selon leur façon de penser que je n'ignore point, ne penseraient pas autrement sur le sujet de l'élection d'un roi des Romains que de la manière que vous le marquez dans votre susdite dépêche; mais l'effet qui en résultera, sera fâcheux, puisque les suites en seront que la cour de Vienne fera presque souverainement ses volontés en Allemagne et qu'elle deviendra de jour en jour plus impertinente. Federic. |
Nach dem Concept.
4035. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS, ENVOYÉ EXTRAORDINAIRE, A VIENNE.
Berlin, 27 décembre 1749.
Votre rapport du 17 de ce mois m'est bien parvenu. Le projet de l'Empereur d'amasser en temps de paix des fonds en argent pour ne pas en manquer en temps de guerre, n'est pas mal pensé; au moins pouvez-vous croire que nous travaillons ici sur le même sujet. Cependant ma curiosité extrême est de savoir jusqu'où peuvent aller à peu près les sommes que l'Impératrice-Reine entasse par an dans son trésor, et quoique je connaisse parfaitement la difficulté qu'il y a d'en savoir