keine Justiz thun noch auf alle Sr. Königl. Majestät Remonstrationes deshalb keinen Égard nehmen wollte. Letztere Passage fänden Höchstdieselbe nöthig, dass solche in Ziffern gesetzet, sonsten aber das ganze deshalb zu expedirende Rescript recht wohl und solide ausgearbeitet und dadurch dem p. von Klinggräffen alle seine unrichtige Begriffe benommen würden. Eichel. |
Nach der Ausfertigung.
4151. AU MARQUIS DE VALORY, ENVOYÉ DE FRANCE, A BERLIN.
Potsdam, 28 février 1750.
Monsieur le Marquis de Valory. Imaginez-vous jusqu'à quel point j'ai été surpris, lorsque mes dernières lettres de Vienne m'ont appris, d'une façon qui ne me laisse aucun doute de la réalité du fait, que le ministère autrichien n'ignore nullement la communication secrète que je vous avais faite en dernier lieu d'une des dépêches que le comte Puebla avait envoyée à Vienne à la date du 30 du janvier passé.1 Jugez, Monsieur, de l'extrême embarras où cet avertissement m'a jeté, dont apparemment les suites seront que je verrai tarie la source d'où j'ai puisé jusqu'ici les confidences secrètes que j'ai fait passer à votre cour, et que je ne serais plus à même de lui en faire, et avisez, s'il vous plaît, sur les voies par où cette indiscrétion a pu dériver, puisqu'il n'y a âme qui vive à qui j'aie fait la moindre confidence de ce qui regarde ce sujet, hormis qu'à vous seul. Je vous conjure, en attendant, de n'en éclater nullement, mais de me garder le secret le plus absolu sur cet avertissement. Songez plutôt d'approfondir, sans que personne s'en doute, par où le secret a pu sortir et être porté en si peu de temps à Vienne, et prenez désormais vos mesures là-dessus, sans vous en confier à personne. C'est par cet unique motif que je vous fais part de ce cas fâcheux.
Au surplus, soyez assuré de mes sentiments d'estime et d'amitié envers vous. Et sur ce, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach dem Concept. 2
4152. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION BARON DE GOLTZ A SAINT-PÉTERSBOURG.
Potsdam, 28 février 1750.
L'état de misère où la province [de Livonie]3 se voit aujourd'hui réduite, et qu'on ne saura point tirer des provisions de l'Ukraine, cette
1 Unter den im Archiv des Ministeriums der Auswärtigen Angelegenheiten zu Paris aufbewahrten, von preussischer Seite dem französischen Gesandten mitgetheilten Abschriften österreichischer Actenstflcke befindet sich ein Bericht Puebla's vom 30. Januar 1750 nicht, sondern nur das oben S. 245 abgedruckte Schreiben an Puebla, Wien, 31. Januar.
2 Vergl. S. 280 Anm. 1.
3 Ergänzt aus Goltz' Bericht vom 10. Februar.