<392> content des propos que vous marquez avoir tenus concernant le personnel du comte Tyrconnell, et vous direz de ma part au marquis de Puyzieulx qu'il paraissait bien, par tout ce que j'apprenais de Russie, que tout resterait tranquille dans le Nord, au moins jusqu'au décès du roi de Suède.
Federic.
Nach dem Concept.
4341. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.
Warendorff berichtet, Petersburg 23. Mai: „Le Chancelier a dit en dernier lieu au comte de Lynar qu'il venait de recevoir un courrier de Constantinople, chargé de dépêches du sieur Neplujew, où celui-ci marquait qu'après avoir fait part à la Porte des propositions que la Russie avait fait faire en Suède et justifié à cet égard la conduite de la cour, le Grand-Visîr lui avait répondu que Sa Hautesse cultiverait soigneusement l'amitié de l'Impératrice, qu'elle remplirait fidèlement les engagements pris avec Sa Majesté Impériale, et que, comme la Russie, pendant la dernière guerre entre la Porte et la Perse, avait refusé à Thamas-Chouli-Khan de se déclarer en sa faveur contre les Turcs, la Porte Ottomane en userait de même à l'égard de la Suède, en cas d'une rupture entre celle-ci et la Russie. Le chancelier Bestushew a ajouté qu'on ne pouvait, à la vérité, pas faire fond sur ces sortes de belles promesses orientales, et qu'on était assez accoutumé de la duplicité du ministère ottoman; que cependant il allait faire faire un extrait desdites dépêches, pour le communiquer aux ministres russiens aux cours étrangères.“ | Petersdorf, 8. Juni 1750. Habe auf allergnädigsten Befehl Sr. Königl. Majestät an Ew. Excellenz vermelden sollen, wie Höchtdieselbe verlangeten, dass Ew. Excellenz, sobald die Warendorffschen Dépêches dorten dechiffriret sein würden, dem Herrn Grafen Tyrconnell aus der einen derselben die Passage, betreffend den zu Petersburg von dem Neplujew zu Constantinopel angekommenen Courier und der prätendirten Declaration des Grossvezirs, aus dem Déchiffré Selbst vorlesen möchten. Eichel. |
Nach der Ausfertigung.
4342. AU CONSEILLER DE LÉGATION WARENDORFF A SAINT-PÉTERSBOURG.
Quartier de Pétersdorf, 8 juin 1750.
A mon arrivée en Prusse, j'ai trouvé devant moi les dépêches que vous m'avez faites du 19, du 23 et du 26 du mois passé, dont j'ai eu lieu d'être satisfait, par les choses intéressantes qu'elles m'ont apprises et par les nouvelles assurances que j'y ai trouvées que la tranquillité dans le Nord se maintiendra encore.