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de l'incident du sénateur Schuwalow1 de façon à donner à l'affaire une heureuse issue et la faire tourner à l'avantage de la bonne cause.

Federic.

Nach dem Concept.


3860. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Potsdam, 7. September 1749.

„Ew. Excellenz gnädiges Schreiben vom gestrigen Dato habe heute früh die Ehre gehabt zu erhalten, worauf ganz unterthänig vermelde, wie dass, als ich heute occasione gewisser schlesischer Handlungsangelegenheiten halber nicht umhin gekonnt, bei Sr. Königl. Majestät anzufragen, ob Dero allergnädigste Intention nicht sei, dass der Herr Geheime Rath Cagnony bei Gelegenheit der ihm aufgetragenen Commission2 auch chargiret und autorisiret werden sollte, bei dem madrider Hofe einen Commercientractat zu negociiren, Höchstdieselbe darauf in Antwort ertheilet, wie allerdinges solches Dero Willensmeinung sei, dass der Herr Cagnony zugleich mit eine secrete Negociation über einen zwischen Deroselben und der Kron Spanien zu schliessenden reciproquen Commercientractat zu entamiren und allen Fleiss und Adresse anzuwenden, um solche Negociation reussiren zu machen“ …

Federic.

Auszug aus der Ausfertigung.


3861. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS, ENVOYÉ EXTRAORDINAIRE, A VIENNE.

Potsdam, 9 septembre 1749.

Ce que vous marquez encore dans votre dépêche à la date du 30 du mois dernier, au sujet du sieur Blondel, me confirme dans l'opinion où je suis que c'est le plus misérable négociateur, imbécile au dernier point, ainsi que je vois bien que toutes les peines qu'on se donnerait pour le rectifier, seraient à pure perte.

Je viens de savoir par un canal bien sûr que le comte Bernes s'est amèrement plaint à un de ses amis intimes,3 qu'il paraissait que la cour de Russie voudrait entraîner la sienne presque par force dans la guerre que la Russie voulait susciter à la Suède, et qu'il lui était arrivé que, quand il avait voulu présenter au chancelier Bestushew la réponse que sa cour lui avait envoyée au mémoire de la cour de Russie par lequel celle-ci avait réclamé de la reine de Hongrie le secours stipulé dans les traités entre les deux cours impériales, ledit chancelier avait refusé tout [plat] de vouloir accepter cette réponse. Mais comme, depuis, l'Impératrice-Reine avait fait déclarer énergiquement par lui, Bernes, qu'elle ne saurait point s'engager dans une nouvelle guerre, avant que d'être exactement



1 Vergl. S. 76 ff.

2 Vergl. S. 83.

3 Vergl. S. 82. Dieselbe Mittheilung erhält unter gleichem Datum Klinggräffen in London.