auch eine aufnehmen, und sobald solche fertig sein wird, wollen wir ihnen solche communiciren. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
4596. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN
Potsdam, 30 octobre 1750.
Ayant écrit avant-hier une lettre de ma main propre au lord Tyrconnell sur la conversation que j'avais eue avec lui ce jour-là,1 j'ai bien voulu vous en communiquer à la suite de celle-ci une copie, afin qu'elle vous serve de direction dans les entretiens que vous aurez avec lui sur l'affaire qui en fait l'objet, quoique je vous défende d'ailleurs de n'en rien communiquer à d'autres, tels qu'ils puissent être.
Vous prendrez occasion de lui dire que je désirais fort de pouvoir me concerter avec l'Électeur palatin relativement à l'affaire de l'élection d'un roi des Romains, pour prendre des mesures avec lui à cet égard et en sorte que, si le parti autrichien voulait, malgré nos remontrances à faire, brusquer cette élection, nous pourrions, moi et l'Électeur, réclamer alors la garantie de la France sur le traité de paix de Westphalie.
Ce qui me met en peine à cet égard, c'est que je ne sais aucun ministre sur lequel j'oserais assez me fier pour régler le concert avec l'Électeur palatin; car vous n'ignorez pas les raisons que j'ai de me méfier du baron Beckers.2
C'est pourquoi devez-vous prier milord Tyrconnell, afin qu'il fasse usage de ce qu'il faut pour informer la cour palatine de mes sentiments touchant l'affaire susdite par le ministre de France à Manheim.3
Comme il est longtemps que vous ne m'avez marqué quelque chose par rapport à la correspondance que vous avez entamée par mon ordre avec le président de Borcke à Cassel,4 mon intention est que vous deviez vous informer auprès de lui de ce que sa cour pourrait demander de subsides pour avoir à ma disposition tout le corps des troupes hessoises. Et sur ce, je prie Dieu etc.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
4597. AU CONSEILLER DE LÉGATION WARENDORFF A SAINT-PÉTERSBOURG.
Warendorff berichtet, Petersburg 10. October, über eine längere Unterhaltung mit Woronzow, der ihm zunächst bestätigt hat, dass Gross sich über eine | Potsdam, 31 octobre 1750. J'ai bien reçu à son temps les rapports que vous m'avez faits |
1 Vergl. S. 126.
2 Vergl. S. II. 83. 92.
3 Tilly.
4 Vergl. Bd. VII, 336.