<17>

Sonsten glaube Ich, dass aller von denen Oesterreichern gemachten neuen Arrangements ohnerachtet sie noch lange Zeit haben sollen, ehe sie mit Uns um die courte Paille ziehen können.

Im übrigen mache Ich Euch hierdurch bekannt, wie dass Ich unter denen von Euch vorgeschlagenen Officiers zur Gersdorffschen Escadron bei dem Billerbeckschen Husarenregiment den Lieutenant Markgraf-Friderichschen Regiments von Bequignolle agreiret und solchem nurerwähnte Escadron conferiret, den Rittmeister von Gersdorff aber seiner Dienste erlassen habe. Ich bin Euer wohlaffectionirter König

F.

Nach der Ausfertigung.


4407. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A COMPIÈGNE.

Chambrier berichtet, Compiègne 5. Juli, über eine Unterredung mit Puyzieulx in Betreff des Verhältnisses zwischen Russland und der Pforte, in welcher Puyzieulx ihm u. A. gesagt hat: „La Porte Ottomane a présentement une juste idée des différends de la Russie avec la Suède. Les ministres du Grand-Seigneur ne prendront plus le change; ils sentent que le but de la Russie est de réduire la Suède, comme elle a réduit la Pologne, et il ne faut pas grande pénétration au ministère ottoman pour voir qu'une puissance comme la Russie, qui touche par ses frontières les États de la Porte Ottomane, ne doit pas acquérir en Europe une influence capable de la rendre encore plus dangereuse à la Porte, qu'il faut donc que la dernière donne plus d'attention qu'elle n'a fait, aux affaires de l'Europe.“

Potsdam, 18 juillet 1750.

J'ai bien reçu votre relation du 5 de ce mois. C'est avec bien de la satisfaction que j'en ai vu les sentiments où M. de Puyzieulx est relativement aux affaires de la Turquie; il n'est rien de mieux que la façon dont il pense à ce sujet; aussi tâcherez-vous de votre mieux de l'entretenir, également que tous les autres ministres de France, dans ces sentiments, qui conviennent absolument aux intérêts de la France et de ses alliés et dont les suites rendront absolument les deux cours impériales plus dociles.

Federic.

Nach dem Concept.


4408. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE ROHD A STOCKHOLM.

Potsdam, 18 juillet 1750.

Votre dépêche du 7 de ce mois m'a été bien rendue. Si les ministres de Suède souhaitent d'avoir les suffrages unanimes du Sénat pour le transport des troupes à faire en Finlande, cela regarde proprement l'intérieur du royaume dont je ne me mêle pas, et pourvu que seulement ce transport se fasse, voilà tout ce que je souhaite.

Federic.

Nach dem Concept.