qu'il avait cru devoir témoigner aux ministres des deux puissances qui sont dans une alliance étroite avec la Porte, mais aussi pour ne pas se commettre mal à propos avec les autres ministres étrangers d'ici, dont quelques-uns l'avaient traité d'aventurier et imposteur, et d'autres, les Princes tartares, ses maîtres, de vils esclaves dont les envoyés ne méritaient point les distinctions qu'on témoignait ordinairement aux ministres étrangers.“ | informiret werde, um auf gleichen Fuss mit dem Marquis de Puyzieulx sprechen zu können. Die Projets der gedachtem Émissaire zurückzugebenden Schreiben1 approbirten Höchstdieselbe, nur würden Sie gerne sehen, wenn convenablement noch etwas von einer näheren Freundschaft, welche Dieselbe mit der Ottomanischen Pforte zu unterhalten wünscheten, mit einfliessen werde. Eichel. |
P. S.
Noch wollen Se. Königl. Majestät, dass dem Herrn Grafen von Podewils zu Wien, ingleichen dem Herrn Warendorff zu Petersburg einige Information wegen des tartarischen Émissaire und der Ombrage und Dépit, so einige derer auswärtigen Ministres deshalb geschöpfet hätten, mit der nächsten Post gegeben, alles deshalb aber wohl chiffriret werden solle.
Nach der Ausfertigung.
4443. AU COMTE DE POTOCKI, GRAND-GÉNÉRAL DE LA COURONNE DE POLOGNE, A VARSOVIE.
Berlin, 4 août 1750.
Monsieur le Grand-Général Comte de Potocki. J'ai bien reçu la lettre du 28 juin passé dont vous avez chargé l'émissaire que le sultan de Budziak a envoyé à ma cour, dont l'envoi et la personne m'ont été fort agréables, ainsi que les commissions dont il a été chargé tant du susdit Sultan, que du khan de la Crimée, son frère; je vous suis sensiblement obligé d'avoir bien voulu favoriser son passage. Je vous en fais mes remercîments les plus affectueux, et comme le même émissaire, après avoir rempli sa commission, est maintenant sur le point de retourner dans sa patrie, j'espère que vous ne me refuserez point le plaisir de lui continuer votre protection et de le garantir des embûches que certaines gens pourraient lui tendre en chemin. Vous m'imposerez par là double obligation et vous pouvez compter que je m'empresserai à saisir les occasions pour vous convaincre de la vérité des sentiments avec lesquels je suis, Monsieur le Grand-Général de la Couronne, votre très affectionné
Federic.
Nach dem Concept.
1 Die in lateinischer Sprache abgefassten Recreditive an den Tartarenchan Ghierey und den Sultan von Budziak sind datirt vom 4. August 1750.