4525. au MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.
Faites-moi le plaisir de chercher dans les archives si l'on n'a pas trouvé quelques lettres du comte de Schwartzenberg1 ou quelque bout de correspondance avec la cour impériale qui dépose contre lui et qui confirme le soupçon que l'on a eu qu'il avait dessein de se revêtir de l'électorat.
J'ai parlé2 à milord Tyrconnell et lui ai fait voir la situation des affaires de l'Empire, et il trouve, comme moi, qu'on ne saurait mieux faire que de répondre au ministre palatin de la façon dont vous l'avez projeté3.
Nach der Ausfertigung praes. 26. September). Eigenhändig.
4526. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 25. September, ein neues Schreiben des Grafen Hennicke [Dresden 22. September] in Sachen der Schuldforderungen preussischer Unterthanen an die chursächsische Steuerkasse.4 „Ce ministre y offre, à la place de 30,000 écus, la somme de 50,000 écus de capital pour la foire prochaine de Saint Michel, outre tous les intérêts échus, ce qui ferait celle de 100,000 écus par an pour les deux foires. Il prétend de prouver par les livres de la Steuer que tout ce que les vassaux, sujets et ceux qui sont au service de Votre Majesté, ont à demander, ne va pas tout-à-fait jusqu'à 500,000 écus en tout.“ | Potsdam, 26. September 1750. Die Offerte ist zwar etwas acceptabler wie vorhin, je mehr sie aber kriegen können, je besser ist. Dass Meine Unterthanen nur 500,000 Reichsthaler zu fordern haben sollten, ist Chicane und Fickfackerei, und weiss Ich, dass es an 1,700,000 Reichsthaler gehet; allenfalls sollen sie eine Specification derer Creditorn aufsetzen lassen, um den Graf Hennicke solcher Chicane zu überführen. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
1 Minister des Churfürsten Georg Wilhelm von Brandenburg.
2 24. September.
3 Bossart hatte, wie Podewils und Finckenstein am 20. September berichten, dem Könige eine Denkschrift überreicht, aus der die Minister den Eindruck gewannen, dass Churpfalz im Begriff stehe, sich mit dem Könige von England wegen der Kaiserwahl zu vergleichen: „et que ce n'est que par manière d'acquit et pour sauver les apparences que l'Electeur s'avise de demander l'avis de Votre Majesté et de la France là-dessus.“ Podewils und Finckenstein schliessen sich in dem bezeichneten Berichte der Ansicht Tyrconnell's an: „Qu'on ne risquerait rien de tirer de cette ouverture tout le parti possible et de prendre l'Électeur palatin au mot, en faisant semblant de se fier à ses belles protestations et en lui répondant que, puisque ce Prince avait trouvé à propos de consulter aussi la France sur un sujet de si grande importance, Votre Majesté ne pouvait s'expliquer là-dessus qu'après en avoir communiqué avec la France, et qu'en attendant Elle Se flattait que l'Électeur ne précipiterait rien dans une affaire de cette conséquence et où il n'allait pas moins que de la sûreté de ses États et de la liberté de l'Empire.“ In diesem Sinne wird nunmehr Bossart unter dem 28. September durch das Cabinetsministerium beschieden.
4 Vergl. S. 57. 58.