<136>gulières du roi d'Angleterre au sujet de l'Ostfrise, je vous dirai que mon intention n'est point de vouloir faire faire à la France une déclaration solennelle aux cours de Vienne et d'Hanovre à ce sujet, puisque je connais trop que ce n'est pas par des arrêts d'un tribunal de justice qu'on dépouille un prince d'une possession acquise de juste titre; mais ce que je désire, c'est que la France voudrait faire comprendre au roi d'Angleterre que les procédés dont ce Prince usait envers moi, n'étaient du tout amicaux envers la France même et qu'ils ne sauraient que lui déplaire.

Au reste, tout ce que M. de Saint-Contest vous a dit touchant la négociation de milord Hyndford, de l'espérance que la cour de Vienne dédommagerait l'Électeur palatin, et sur l'élection d'un roi des Romains, me paraît être d'un homme qui bat la campagne par des propos vagues et qui n'est pas assez informé des choses.

Federic.

Nach dem Concept.


5488. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 17. Juni, über einen im Originalbeigeschlossenen Brief des pfälzischen Gesandten von Wrede an Podewils, d. d. Hannover 5. Juni. Wrede meldet u. A.: „Que le duc de Newcastle avait fait entendre que, puisqu'il n'y avait moyen d'obtenir l'unanimité des voix dans le Collège Électoral pour l'élection d'un roi des Romains, il fallait bien avoir recours à la pluralité, et que, sur les représentations que lui, Wrede, avait faites sur ce sujet audit duc, celui-ci s'était écrié : Nous risquerons le paquet.“

Der französische Gesandte Vergennes hat dem Baron von Wrede versprochen, bei seinem Hofe energische Vorstellungen in Wien und am englischen Hofe zu befürworten.

Potsdam, 19. Juni 1752.

Ist sehr gut, aber es muss nicht allein an den Baron von Wrede hiernach geantwortet, sondern hauptsächlich Mylord Maréchal hiernach ganz umständlich informiret und instruiret werden.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


5489. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 19. Juni, über den Inhalt einer durch den französischen Geschäftsträger Le Baillif dem ersteren vorgelesenen Depesche von Vergennes aus Hannover. „Le sieur de Vergennes s'est rendu chez

Potsdam, 20. Juni 1752.

Es machet Mir sehr viel Plaisir, dass Monsieur de Vergenne; dergleichen Declaration gethan hat und wird solche von gutem Effect