mais en celle d'ami, et qui était pourquoi le comte de Miinchow pendant son séjour de Karlsbad avait tant évité de faire connaissance avec les comtes d'Ulfeld et de Chotek l'aîné qui s'y étaient trouvés en même temps que lui et qui auraient souhaité passionnément de faire connaissance avec le comte de Miinchow, mais surtout le comte Chotek, président des finances et de la bancalité, pour s'expliquer et s'entendre avec lui sur plusieurs difficultés qui arrêtent la négociation du vice-président de Dewitz à Vienne.“ Podewils hat dem Grafen Puebla als muthmasslichen Grund den Gesundheitszustand Münchow's angegeben. | ob und worum er evitiret, die Grafen Ulfeid und Chotek im Karlsbade zu sprechen, Ich muss aber fast präsumiren, dass die Ursache davon hauptsächlich seine Krankheit und schlechte Gesundheitsumstände gewesen; ausserdem aber kann es sein, dass er sich der grossen Fierté dieser Herren nicht exponiren wollen. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
5538. AU PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK A POTSDAM.
Potsdam, 24 juillet 1752.
J'ai bien reçu la lettre que vous avez pris la peine de me faire du 23 de ce mois, et me trouve extrêmement flatté de ce que le Duc a bien voulu goûter ma façon de penser au sujet de l'alliance proposée entre ma nièce et le prince de Galles, et du double mariage qu'on prétend faire.1 Comme du depuis j'ai réfléchi plus encore sur une affaire qui importe tant à M. le Duc que celle-là, il m'est venu la pensée, encore, qu'il aura d'autant moins lieu d'être embarrassé pour refuser tout ce qui ne saurait lui être agréable dans cette affaire, que dans ce temps-ci il ne se trouve justement aucune Princesse qui saurait tant convenir au prince de Galles que la Princesse fille du Duc; en sorte que j'estime que la cour d'Angleterre se verra obligée, bon gré malgré elle, de se prêter à tout ce que le Duc voudra, et lui passer toutes les conditions qu'il leur proposera, puisqu'elle ne saurait trouver aucun parti aussi bien assortissant que celui-ci.
Je suis avec estime, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse le bon et très affectionné cousin
Federic.
Nach dem Concept.
5539. AN DEN GROSSKANZLER FREIHERRN VON COCCEJI UND DIE ETATSMINISTER GRAF PODEWILS, VON BISMARCK UND GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.
Potsdam, 24. Juli 1752.
Mein lieber Grosskanzler, auch Geheime Etatsminister Freiherr von Cocceji, Graf von Podewils, von Bismarck und Graf von Fincken-
1 Vergl. S. 170.