<337> zufrieden gewesen1 und vermeinet hätten, dass die Sache selbst ohne dergleichen zu heftige Ausdrücken traitiret werden können, inzwischen Sie dennoch diese Dépêche gezeichnet haben, in der Hoffnung, dass Michell solche nur zu seiner eigenen Direction lesen und solches nicht weiter kommen lassen werde.
Bei welchem Umstände denn ich nicht wagen wollen, obgedachten Articul, da solcher ohnedem in den heftigsten Ausdrücken gefasset ist, vorzulegen, und hoffe, eine andere Gelegenheit dazu zu finden.
Eichel.
Auszug aus der Ausfertigung.
5768. AU LORD MARÉCHAL D'ÉCOSSE A PARIS.
Potsdam, 13 février 1753.
Votre dépêche du 2 de ce mois m'a été bien rendue. Les raisons que M. de Saint-Contest vous a alléguées pourquoi il croit qu'on saurait tabler sur la fermeté de l'Électeur palatin, m'ont paru être d'assez de poids; il me semble à moi-même qu'il se prête à présent de bien bonne grâce à ce que ses vrais intérêts demandent qu'il fasse, et je serai charmé si la présence de M. de Vergennes l'y fortifie.2
Vous remercierez bien obligeamment M. de Contest de ma part de toutes les facilités qu'il a bien voulu apporter à l'affaire de la convention de commerce,3 pour que j'en puisse voir bientôt la fin.
Quant à la conduite de la cour de Danemark, je conviens de toutes les bonnes raisons pourquoi il n'y aurait à croire que cette cour eût un dessein formé contre la Suède; il m'est même incroyable que le Danemark voudrait venir à des éclats contre quelque puissance; mais ce que je ne saurais concilier ensemble, c'est les grands frais qu'il dépense pour ses apprêts de guerre et l'embarras où il s'en met, puisque mes lettres de Copenhague me confirment que le roi de Danemark fait négocier actuellement un emprunt d'un million d'écus dans ses États. Il ne me paraît pas vraisemblable que, pour sauver une forêt4 dont peut-être la valeur ne va au-delà [de] 200[000] écus, il voudrait faire la dépense d'un million. Enfin, il n'y a que le temps qui saura nous résoudre ce problème; en attendant, selon mes lettres, les affaires y vont toujours le même train, les fréquentes conférences continuent entre les ministres5 et le sieur de Bernstorff, qui donne
1 Der in Ausführung der Königlichen Weisung vom 11. Februar (Nr. 5765) von dem Geheimen Rath Vockerodt entworfene Ministerialerlass an Michell in London, d. d. Berlin 13. Februar, enthält die Worte: „Je n'ignore pas à quel point ces insulaires sont capables de pousser l'impertinence en ces sortes d'occasions. J'en méprise la colère et je crains peu leurs menaces.“ Die Concepte der aus dem Ministerium ergehenden Weisungen an die Gesandtschaften wurden bei Vorlegung der chiffrirten Ausfertigungen zur Vollziehung durch die Königliche Unterschrift regelmässig zur beliebigen allerhöchsten Einsichtnahme beigefügt.
2 Vergl. S. 330.
3 Vergl. S. 306.
4 Vergl. S. 267.
5 Vergl. S. 333.