Erbschaften erhöben, sich mehrestentheils mit Steuerscheinen contentiren müssten, hergegen die dortige in dergleichen Fällen baares Geld zögen. Eben der Gestalt sei es mit der Handlung beiderseitiger Unterthanen beschaffen, dass also, wenn unsere Unterthanen keine Sicherheit wegen Bezahlung der Steuerscheine, so sie vor voll nehmen müssten, haben sollten, sie nothwendig dadurch ruiniret werden und alles Commercium aufhören müsste. Alle diese Considerationes sollte Mylord Maréchal dem Marquis de Saint-Contest begreifen und bei ihm geltend machen, mit dem Beifügen, dass Se. Königl. Majestät niemals intentioniret wären, denen Sachsen zu schaden, aber wenn diese zuweilen impertinent wären und nichts von denen Punkten des Dresdenschen Friedens und dessen 11. Articul gelten lassen wollten, so wäre man genöthiget, etwas nachdrücklich mit ihnen davon zu sprechen, weil sonst kein Auskommens mit ihnen sei. Uebrigens hätte der dresdensche Hof gewiss alle Ursache, von denen Stipulationen des Dresdener Frieden zufrieden zu sein und sich gar nicht desfalls zu beschweren, da ihm dermalen das ganze Land wiedergegeben worden und Se. Königl. Majestät vor Sich nichts anders reserviret hätten, als nur den einzigen Articul, dass Dero Unterthanen bei dem beständigen Commercio, so réciproquement dort und hiesigerseits wäre, wegen ihrer Steuerscheine Sicherheit haben sollten, welches eine solche Condition wäre, so die bonne Foi von sich selbst erforderte und also gar nicht als onéreuse angesehen werden könnte. Welches alles Mylord Maréchal an M. de Contest sagen sollte. Eichel. |
Nach der Ausfertigung.
5784. AU PRINCE DE PRUSSE A BERLIN.
[Potsdam], 23 [février 1753].
Mon très cher Frère. Je compte d'avoir le plaisir de vous revoir au commencement de l'autre mois. Je ne suis pas de votre sentiment de ce que vous croyez notre paix éternelle;1 ne vous l'imaginez pas, mon cher frère, il y a cent envieux et cent occasions qui peuvent nous susciter des affaires, et, à moins que d'être privé de raison et de prévoyance, on ne peut assez être sur ses gardes et assez consolider les arrangements nécessaires pour résister au grand nombre d'ennemis que
1 Der Prinz von Preussen hatte auf das Schreiben des Königs vom 18. Februar, Nr. 5778, geantwortet (ohne Datum): „L'ombrage que donne le campement qui doit se faire près de Spandau, à quelques puissances, démasque, il me semble, la crainte qu'ils ont d'avoir une armée prussienne à combattre; c'est toujours un bon signe, mon très cher frère, que vos ennemis vous craignent autant que vos amis vous respectent, et, s'ils sont instruits de tous les bons arrangements que vous prenez, et de la perfection à laquelle vous portez les manœuvres de guerre, je crois qu'ils finiront de faire des projets, dans la persuasion de ne pouvoir réussir; à moins donc que vous ne la leur fassiez, je crois que de nos jours vos bons maximes militaires ne seront plus réalisées par la pratique.“