IV.
Le texte s'exprime ainsi: „Le Grand Electeur avait fait préparer des traîneaux sur lesquels il mit toute son infanterie et ses troupes dans l'ordre où elles devaient combattre. La cavalerie, à leurs côtés, suivait l'électeur, qui faisait de cette façon étrange et nouvelle sept grands milles allemands par jour.“
Menzel montre l'électeur debout sur la neige, avec un manteau de fourrure, et adressant, au moment de monter dans le traîneau qui l'attend, une chaleureuse allocution à ses généraux Goertzke, Derfflinger et au duc de Dessau.