<226>Je vous prie, madame, de me croire avec les sentiments invariables d'une estime distinguée et de la plus parfaite amitié,
Madame ma cousine,
de Votre Altesse
le très-bon cousin,
Federic.
28. A LA MÊME.
Bettlern, 18 mai 1762.
aMadame ma cousine,
La lettre qu'il vous a plu, madame, de m'écrire, du 7 de ce mois, m'est un témoignage bien authentique des sentiments d'amitié que vous avez pour moi. J'en sens tout le prix, et V. A. peut s'attendre à un parlait retour, et que je m'empresserai à trouver des occasions où je puisse lui donner à connaître la haute estime et l'amitié très-parfaite avec lesquelles je suis,
Madame ma cousine,
de Votre Altesse
le très-bon cousin.
bDans ces moments où mon occupation est immense, vous me
a De la main d'un secrétaire.
b De la main du Roi.