317. AU MARQUIS D'ARGENS.
Potsdam, 7 juillet 1769
Comme je vois, par votre lettre du 10 juin dernier, que, pour vider un procès survenu à l'occasion de la mort de votre oncle, vous êtes empêché de vous rendre à Potsdam avant le mois de septembre prochain, je veux bien vous accorder la prolongation de congé que vous me demandez pour ce temps-là, priant, au reste, Dieu qu'il vous ait en sa sainte et digne garde.
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