A M. DE MOULINES.
Potsdam, 18 décembre 1776.
Je ne puis qu'applaudir aux motifs qui vous ont engagé à traduire l'Éloge de feu mon grand chancelier de Jariges. Des talents aussi distingués, joints à une droiture à toute épreuve, méritent bien d'être transmis à la postérité, surtout quand le monument en porte des caractères aussi frappants de la plus exacte vérité. Il est bien à souhaiter que celui-ci excite bien d'autres à imiter un aussi bel exemple. La patrie y gagnerait infiniment, et ils feraient ses délices. Sur ce, etc.