<280>rables qu'elle paraît vous conserver semblent lever toutes les difficultés. Tranquillisez-vous seulement, en attendant avec patience la décision de votre sort, persuadé comme vous devez l'être qu'elle répondra entièrement à vos désirs. Sur ce, monsieur le comte de Hoditz, etc.
73. AU MÊME.
Neisse, 20 août 1777.
Monsieur le comte de Hoditz, pour vous prouver que je ne vous ai point oublié, je suis bien aise de vous marquer que vos affaires prennent bon train, et je compte vous donner en son temps là-dessus des avis qui ne manqueront pas de vous faire plaisir. Sur ce, monsieur le comte, je prie Dieu, etc.
aSi vous renoncez à l'entretien de votre jardin, vous pourrez avoir quatre mille neuf cents florins de revenu net.
74. AU MÊME.
Potsdam, 15 septembre 1777.
Monsieur le comte de Hoditz, je vous sais un gré parfait de la part que vous prenez à l'état de ma santé, et vous remercie des vœux que vous faites pour l'accélération de mon rétablissement, qui, j'espère,
a De la main du Roi.