<281> ne tardera pas. La sincérité qui règne dans vos procédés ne me laissant nul doute sur la nature de vos sentiments, il m'est toujours agréable de vous témoigner combien je vous estime. Sur ce, etc.
75. AU MÊME.
Potsdam, 26 septembre 1777.
Monsieur le comte de Hoditz, vous ne cessez de me fournir de nouvelles preuves bien agréables de vos sentiments de dévotion et de zèle. L'on ne saurait être plus sensible que je le suis à celles que renferme votre lettre d'hier, qui les exprime de la manière la plus flatteuse. Je les agrée avec le même plaisir que mon rétablissement vous a causé, et je désire, en retour, de vous voir vivre en bonne santé dans la retraite que vous vous êtes choisie, sans qu'aucune incommodité ni inquiétude puisse altérer le contentement et le bien-être dont vous jouissez aujourd'hui à ma grande satisfaction. Sur ce, etc.
76. AU MÊME.
Potsdam, 24 octobre 1777.
Monsieur le comte de Hoditz, l'on ne saurait exprimer avec plus de force et de vivacité le zèle et l'attachement dont vous faites profession pour ma personne. Votre lettre d'hier est remplie de sentiment; les assurances flatteuses qu'elle renferme excitent ma sensibilité, et me dédommagent bien de l'intérêt que j'ai pris jusqu'ici à tout ce qui