<283> un état de convalescence qui me permette d'espérer de posséder encore longtemps deux personnes d'un mérite et d'un attachement aussi distingué. Sur ce, etc.
79. AU MÊME.
Potsdam, 24 janvier 1778.
Monsieur le comte de Hoditz, vous me donnez à l'époque de l'anniversaire de mon jour de naissance une preuve bien agréable de la vivacité de vos sentiments zélés et affectueux, par les félicitations que vous me présentez dans votre lettre d'aujourd'hui, que je trouve remplie de l'effusion d'un cœur reconnaissant et sensible. Je vous sais gré des vœux sincères que vous faites en ma faveur; ils me sont garants d'une source de félicité par le plaisir que j'aurai de vous faire éprouver en tout temps les effets de ma bienveillance et de mon estime. Les vœux que je vous fais en échange sont que vous vous portiez parfaitement bien, et que l'état de votre santé soit tout à fait rétabli et bien durable. Je vous recommande pour cet effet de ménager votre santé et d'éloigner avec soin tout ce qui pourrait altérer votre bien-être et votre contentement, qui m'intéressera toujours. Sur ce, etc.
80. AU MÊME.
Potsdam, 1er mars 1778.
Monsieur le comte de Hoditz, l'assiduité que vous avez à m'entretenir de votre attachement et de votre dévotion ne saurait m'être