67. AU MÊME.
Potsdam, 24 mai 1777.
Monsieur le comte de Hoditz, j'ai vu avec plaisir par votre lettre d'hier les nouvelles assurances que vous me donnez de votre attachement. Je vous en tiens bon compte, et vous recommande, à cette occasion, de vous ménager autant que possible, et surtout de ne pas vous hasarder au grand air avant que vous ne vous trouviez entièrement rétabli, et que vous n'ayez premièrement repris toutes vos forces. Sur ce, monsieur le comte de Hoditz, je prie Dieu, etc.