80. AU MÊME.
Potsdam, 1er mars 1778.
Monsieur le comte de Hoditz, l'assiduité que vous avez à m'entretenir de votre attachement et de votre dévotion ne saurait m'être<284> que fort agréable, et vous ne devez pas craindre de devenir importun. Ce n'est pas une petite satisfaction pour moi de voir les vœux que vous formez en ma faveur. Soyez assuré que c'est particulièrement pour avoir plus d'occasions de vous témoigner combien j'y suis sensible que j'en désire l'accomplissement autant que la continuation de votre bien-être. Sur ce, etc.