7. AU MÊME.
Potsdam, 31 octobre 1779.
Monsieur de Chasot,
Si vos fils sont placés au service de France, je vous conseille de les y laisser, car vous n'ignorez pas qu'il est impossible de les agréer, en arrivant ici, comme capitaines de cavalerie dans mon armée. Sur ce, etc.
J'ai la goutte à la main droite, et je vous écris avec la gauche que je suis l'humble admirateur de M. le gouverneur de Lübeck, tant de sa postérité légitime qu'illégitime.326-a
326-a Les mots postérité illégitime font allusion aux enfants que M. de Chasot avait eus d'une jeune veuve, nommée madame de Clausenheim.