242. AU PRINCE HENRI.
Le 16 octobre 1772.
Mon cher frère,
J'ai tâché de vous donner des marques de ma reconnaissance le plus tôt que je l'ai pu, et dans un temps où il faut débrouiller le chaos des affaires de la Prusse, où tout est encore dans la plus grande con<413>fusion; mais dès que je verrai un peu plus clair dans ces revenus, je ne m'en tiendrai pas là, et je n'oublierai jamais fa reconnaissance que l'État, la maison et moi, nous vous devons.
Je suis bien aise de voir, mon cher frère, que nous pensons de même sur le sujet des affaires de Suède ....