<150> dans le détail de la manière offensante dont vous m'avez traité, des choses dures que vous avez écrites au général Marwitz, du mariage que vous avez fait de sa fille avec un Autrichien; je veux penser dans cette occasion que je suis frère, et oublier tout le reste, vous priant de me croire avec bien de l'estime, ma chère sœur, etc.
153. A LA MÊME.
Camp de Bechin, 10 octobre 1744.
Ma très-chère sœur,
Je vous suis infiniment obligé de la part que vous prenez à ce qui me regarde. Dieu merci, tout va bien jusqu'à présent, et il ne s'agit que de voir comment nous pourrons joindre le prince Charles pour le déloger de la Bohême.a Adieu, ma chère sœur; je vous prie de me croire avec des sentiments distingués, etc.
Daignez faire mes compliments au Margrave.
154. A LA MÊME.
Quartier de Bohdanetz, 13 novembre 1744.
Ma très-chère sœur,
J'ai reçu votre lettre avec bien du plaisir. Je me flatte que votre indisposition n'aura point de mauvaises suites, et que l'art de M. de
a Voyez t. III, p. 69 et suivantes.