<112>position qui m'est survenue m'empêche de vous écrire de main propre pour vous remercier des vœux tout à fait obligeants que vous m'adressez à l'occasion du prochain retour de mon anniversaire. Je prie en même temps Y. A. d'être bien persuadée de la part sincère que je prendrai invariablement à sa précieuse conservation, et que je ne cesserai d'être avec la plus parfaite estime et amitié, etc.
5. AU MÊME.
Le 23 mai 1768.
Monsieur mon cousin,
Si vous n'aviez pas voulu avoir mon portrait, je me serais bien gardé de l'envoyer à V. A. Il n'a d'autre mérite que de vous faire souvenir d'une personne qui est remplie d'estime pour vous, et qui se fera un plaisir de donner en toutes les occasions des preuves à V. A. de la haute estime et de la considération avec laquelle je suis, etc.
6. AU MÊME.
Wésel, 10 juin 1768.
Monsieur mon cousin,
Rien ne pouvait m'être plus agréable que l'invitation que Votre Altesse veut bien me faire, et l'espérance qu'elle me donne de l'embrasser