<241> entendra ce que ces gens-là disent, et il est très-certain que si après cela il arrive quelque action contraire de l'Empereur, qu'il n'y aura qu'une voix pour faire des représentations.
J'attends votre arrivée ici, sieur de Hertzberg, pour vous parler plus amplement là-dessus, et sur ce, je prie Dieu qu'il vous ait en sa sainte et digne garde.
A Potsdam, le 1er novembre 1784.
Federic.
Aux ministres d'État et de Cabinet le comte
de Finckenstein et le sieur de Hertzberg.