<XV>XVI. ÉPITRE SUR L'USAGE DE LA FORTUNE.
Frédéric envoya cette Épître, inconnue jusqu'à présent, au colonel de Camas le 28 mars, et au comte Algarotti le 15 avril 1740. L'autographe se trouve aux archives royales du Cabinet (Caisse 149, F).
XVII. ÉPITRE SUR LA NÉCESSITÉ DE REMPLIR LE VIDE DE L'AME PAR L'ÉTUDE.
L'autographe de cette Épître, qui fut envoyée à Voltaire le 26 avril, et à Algarotti le 19 mai 1740, appartient à la collection du comte de Suchtelen. Elle n'avait pas encore été imprimée.
XVIII. VERS ADRESSÉS A LA PRINCESSE ULRIQUE. (Le 4 juin 1743.)
A défaut du manuscrit original, nous tirons cette pièce de l'ouvrage allemand : Helden-, Staats- und Lebensgeschichte Friedrichs des Andern. 2e édition, Francfort et Leipzig, 1758, t. II, p. 810.
Le baron de Bielfeld parle dans ses Lettres familières et autres, t. II, p. 160, d'une ode de Frédéric à sa sœur Ulrique, du 26 juillet 1744, dont il cite les deux vers suivants :
Partez, ma sœur, partez,
La Suède vous attend, la Suède vous désire.
Il nous a été impossible de retrouver cette pièce.
XIX. VERS DE VOLTAIRE A LA PRINCESSE ULRIQUE DE PRUSSE, ET TROIS RÉPONSES DU ROI, DONT UNE AU NOM DE SA SŒUR.
Voltaire arriva à Berlin le 30 août 1743; il en partit le 12 octobre de la même année pour retourner en France. Ce fut pendant ce temps qu'il adressa ces jolis vers à la princesse Ulrique, depuis, reine de Suède. Pour le madrigal de Voltaire et la réponse du Roi au nom de la princesse, nous faisons usage de la rédaction des Œuvres de Voltaire, édition Beuchot, t. XIV, p. 385, et t. LIV, p. 607 et 608. La seconde réponse a été imprimée dans les Œuvres