<XVII>XXIII. ÉPITRE A D'ALEMBERT.

Frédéric adressa cette Épître à d'Alembert, avec une lettre du 22 octobre 1776, pour le consoler de la perte de son amie, mademoiselle de l'Espinasse, qui était morte le 23 mai. Cette poésie, inconnue jusqu'ici, nous vient de la collection du comte de Suchtelen.

XXIV. AU PRINCE HENRI DE PRUSSE. ÉPITHALAME A MONSEIGNEUR LE PRINCE HENRI.

Cette pièce fut composée à l'occasion des noces du prince Henri et de la princesse Wilhelmine de Hesse, le 25 juin 1752. Nous suivons le texte du Supplément, t. III, p. 371-376.

XXV. ÉPITRE AU VIEUX BARON PHILOSOPHE.

Cette Épître au baron de Pöllnitz était demeurée inconnue. Nous l'avons trouvée, copiée de la main de l'abbé de Prades, aux archives royales du Cabinet (Caisse 365, L), parmi les papiers laissés par ce lecteur du Roi. Or, l'abbé de Prades entra en fonctions au mois d'août 1752, et eut le malheur de déplaire à son maître en 1757. C'est, donc dans ces cinq ans qu'il faut placer la date de la composition de cette pièce.

XXVI. ÉPITRES A L'ABBÉ DE PRADES, SUR SON EXCOMMUNICATION ET SUR SA RÉCONCILIATION AVEC L'ÉGLISE.

Les manuscrits originaux de ces deux Épîtres inédites, du 28 décembre 1755, se trouvent, aux archives royales du Cabinet (Caisse 365, L).

XXVII. RÉPONSE AU SIEUR VOLTAIRE.a

Cette Réponse, du 9 octobre 1757, publiée par Voltaire immédiatement après sa réception, ne tarda pas à être reproduite par les


a La lettre de Voltaire se trouve dans la collection de ses Œuvres, édition Beuchot, t. LVII, p. 343-346. Elle est sans date, et commence par les mots : « Sire, votre Épître d'Erfurt est pleine de morceaux admirables et touchants. »