193. A M. JORDAN.
Mon cher Jordan, on dit que ta santé s'est dérangée de nouveau; d'autres disent que tu te remets; je ne sais qu'en croire. Je serai dans peu de jours à Berlin, et fais du moins que quelqu'un qui t'aura vu me dise à mon arrivée positivement de tes nouvelles. Adieu; je souhaite qu'elles soient bonnes.