<120>terai aussi mal des fonctions de cette charge que du rôle d'Arbate,a si je dois y officier. Cependant je m'en console; pourvu que j'aie la satisfaction de remplir vos idées pendant la guerre, et que vous y soyez heureux, Sire, j'y sacrifierais volontiers le prévôt, le chapitre, et ma vie. Je suis, etc.
Je ne suis nullement embarrassé pour la restitution des douze mille écus, Sire; vous y avez trop bien pourvu.
15. AN DEN BARON VON L. M. FOUQUÉ.
Berlin, den 20. April 1763.
Mein lieber General von der Infanterie von Fouqué.a Den Einhalt Eures Schreibens vom 15. dieses habe Ich mit vieler Zufriedenheit ersehen, und wird solche dadurch noch mehr vergrössert werden, wann Ihr jetzo nur, wie Ich wünsche und verlange, alle Sorgfalt vor die Retablirung Eurer Gesundheit und deren völligen Herstellung haben werdet, damit Ich das Vergnügen haben kann gegen Euch darzuthun, wie Ich bin Euer wohl affectionirter König.
bRemettez votre santé, mon cher; votre ancien ami réparera toutes les brèches de votre fortune.
a Personnage de la tragédie de Mithridate, de Racine. Ce passage est une allusion aux représentations théâtrales qui faisaient partie des plaisirs de Frédéric pendant son séjour à Rheinsberg, en 1736. Voyez le Journal secret du baron de Seckendorff. A Tubingue, 1811, p. 159 et 160. Voyez aussi t. XVI, p. 368.
a Le général Fouqué se trouvait alors à Glatz.
b De la main du Roi.