42. AU MÊME.
Potsdam, 8 septembre 1771.
Monsieur le comte de Hoditz, très-sensible aux vœux sincères dont, selon votre lettre du 2 de ce mois, vous avez bien voulu accompagner mon retour chez moi, et qui ont été si efficaces, que j'y suis heureusement arrivé, ne doutez point, mon cher comte, que mon amitié pour vous n'y réponde parfaitement, souhaitant de bon cœur que je vous revoie encore bien des années aussi bien portant que je vous ai quitté. Connaissant au reste par moi-même combien parfaitement vous savez arranger des fêtes, je n'ai aucun doute que vous n'ayez une satisfaction entière de celles que vous venez de donner, et dont j'aurai grand plaisir de recevoir des nouvelles. En les attendant, je prie Dieu, etc.