61. AU MÊME.
Potsdam, 19 juin 1775.
Monsieur le comte de Hoditz, le détail de vos embarras domestiques m'a fait une peine infinie, et il est tout naturel qu'il ait excité en moi le désir ardent d'être à même de vous en délivrer. Jusqu'ici je ne vois pas comment satisfaire un désir aussi conforme à mes sentiments pour vous. Cette idée m'occupera cependant toujours, et je vous prie d'attendre mon arrivée en Silésie. Peut-être alors pourrai-je vous soulager et contribuer au rétablissement de votre bonheur et prospérité. Sur ce, etc.