27. A M. DE CATT.
Silberberg, février 1779.
Voilà vos trois volumes de Vertot. J'expédie un volume chaque jour, et si cela dure, je pourrai bien, en me perfectionnant, en faire autant d'un in-folio; mais il faut du temps encore pour que ma langue acquière assez de rapidité, et mes yeux plus de force, pour aller aussi lestement pour cela. L'on parle ici d'un courrier du prince Repnin, et l'on prétend qu'il est allé chercher la paix à Vienne pour nous l'apporter ici. Si cela est, votre seconde prophétie sera plus sûre que la première. Je vous prie de m'envoyer les deux premiers volumes des Orationes Ciceronis. Dans peu je renverrai également l'Ingénu. Vale.