1. VON DER KÖNIGIN SOPHIE.
Potsdam, den 7. Februarii 1732.a
Euer Brief, mein lieber Sohn, hat mich sehr erfreut, weil ich es nehme wie ein Zeichen, dass Ihr Euch besser befindet, was mir recht angenehm ist. Was Ihr mir schreibet, dass Euch der König so gnädig geschrieben und versichert, dass er für Euer Etablissement sorgen wollte, ist sehr gut; auch dass er Euch die älteste Prinzess von Bevern geben will zur Frau, approbire ich ganz. Eure Submission, die Ihr Eurem Vater weist in dieser Sache, ist rühmlich und wie es sich gehört. Gott gebe Euch allen Segen, den ich Euch wünsche, so werdet Ihr alle Zeit glücklich sein. Seid Ihr nun versichert, mein lieber Sohn, dass ich Eure treue Mutter verbleibe.
Sophie D.
2. DE LA MÊME.
Potsdam, 14 mars 1732.
Vous me rajeunissez, mon très-cher fils, par vos aimables lettres, et les assurances de votre amitié pour moi me font un tel effet, que je me trouve plus que contente. Quelles obligations ne vous ai-je pas d'adoucir votre absence par mille attentions obligeantes à mon égard, et que ne vous dois-je pas! Aussi, mon cher fils,
a Frédéric-Guillaume Ier avait écrit le 4 à son fils, alors à Cüstrin, qu'il lui avait choisi pour femme la princesse Élisabeth de Brunswic-Bevern; il lui ordonnait en même temps de faire part de cette nouvelle à la Reine. C'est à la lettre écrite par Frédéric à sa mère, à cette occasion, que cette princesse répond ici.