<XII>Die französische Uebersetzung der Platenschen Schrift erschien, ohne des Originals zu gedenken, unter dem Titel:
Le Husard, ou courtes maximes de la petite guerre. A Berlin, 1761, sieben und siebzig Seiten in 8., und drei Seiten Table des chapitres, welche aber nicht paginirt sind. Druckort und Jahreszahl dürften absichtlich falsch sein, so wie das Seite 3 und 4 befindliche Avant-propos eine Abkürzung der Vorrede des deutschen Originals vom Jahre 1762 ist, wie aus folgendem wörtlichen Abdrucke beider leicht zu ersehen.
« Avant-propos. »
« Je n'avais pas le dessein, en composant ce traité, de le donner au public; je le faisais seulement lire à des jeunes gens, pour leur donner quelques instructions. J'ai continué de même à écrire ces maximes, plus pour m'en amuser que pour en faire usage, ce qui est cause que je ne les ai pas proposées dans l'ordre qu'il faut. Mais ayant montré cet ouvrage à quelques amis, leur approbation m'a déterminé à le rendre public. »
« Les apprentis du métier de husard pourront en tirer quelque utilité, mais il ne contient rien de nouveau pour des officiers expérimentés. Si pourtant je suis assez heureux pour gagner l'approbation de ces messieurs, je continuerai ce traité et le rendrai quelque jour plus parfait. » Darauf folgt, Seite 5, die Schrift Le Husard selbst, und zwar in den drei und zwanzig Capiteln des deutschen Werks, nämlich : Chapitre I. De ce que doit observer un officier qui commande une garde avancée. Chapitre II. De ce que doit observer un husard étant de garde, ou faisant le guet. Chapitre III. Comment un officier ou bas-officier doit faire la patrouille. Chapitre IV. Comment un husard se doit conduire faisant la patrouille ou devant flanquer. Chapitre V. Conduite d'un officier commandant un détachement perdu, u. s. w.
Die deutsche Vorrede, von 1762, lautet also: « Da ich dieses aufzuzeichnen den Anfang machte, war nichts weniger meine Meinung, als solches dem Druck zu überlassen. Es geschähe bloss, um es die jungen Leute lesen zu lassen und solche einigermassen zu unterrichten, wie sie sich bei ein und andern Vorkommenheiten zu verhalten hätten. »
« Ich bin in dieser Aufzeichnung fortgefahren, mehr um mich dadurch zu vergnügen, als um Gebrauch davon zu machen, und die- »