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ergreifung im Bergischen die Truppen gegen pfälzische Garnisonen zu verhalten haben, die ihnen den Eintritt in die Städte streitig machen könnten?

„Les ordres de feu Sa Majesté de glorieuse mémoire, donnés à cet égard, portent qu'on devait éviter les villes où se trouverait garnison palatine, et se contenter d'afficher les patentes qui prouvent la prise de possession, aux environs de ces sortes de places.“

valeur que l'espace de trois mois, après quoi nous saurons s'il n'est pas nécessaire de prendre d'autres engagements.

Federic.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


175. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.

Podewils legt, Berlin 28. November, die anlässlich des Einmarsches in Schlesien zu veröffentlichende Declaration1 vor und fragt, ob bez. wann sie den fremden Ministern schriftlich zu überreichen sei.

Oui, il la faut délivrer à tous les ministres, mais il faut attendre que mes troupes soient en marche; ainsi ce sera le 12, jour avant mon départ, que vous le leur insinuerez et qu'on pourra le faire mettre dans les gazettes.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


176. AU CONSEILLER DE LÉGATION D'AMMON A DRESDE.

Berlin, 1er décembre 1740.

Votre dépêche du 26 du mois passé m'a été remise, et vous pouvez marquer au comte de Brühl que le choix que le roi de Pologne a fait de la personne du conseiller privé de Bülow pour l'envoyer en qualité de son ministre à ma cour, m'a été fort agréable, et que je ne demande pas mieux que de cultiver une bonne amitié et intelligence avec ce prince, pour lequel je me suis senti toujours beaucoup d'estime et de considération. En attendant, comme je vous ai mis en état de pouvoir pénétrer les vues secrètes de la cour où vous êtes, et que vous me dites qu'on a formé le dessein d'arracher quelque partie de la succession de la maison d'Autriche, vous devez tâcher de découvrir si c'est sur la Bohême ou sur la Silésie qu'on a jeté les yeux, et sous quel prétexte ou de quelle manière on croit y pouvoir réussir.

Il faut bien prendre garde de démêler le vrai du faux, et de ne me point donner de simples bruits ou soupçons pour des vérités réelles.

Federic.

H. de Podewils.



1 Vergl. Preussische Staatsschriften I, 61.