<245>trompeurs, est un parti désespéré, dont la réussite est fort équivoque. Que faire donc?La guerre et la négociation: voilà justement ce que fait votre très humble serviteur et son ministre. S'il y a à gagner à être honnête homme, nous le serons, et s'il faut duper, soyons donc fourbes. Je suis avec bien d'estime, mon cher Podewils, votre très fidèle ami
Federic.
Nach einer Abschrift im Record-Office zu London Vergl. Grünhagen, Ein denkwürdiger Brief Friedrichs des Grossen und seine Schicksale (Preussische Jahrbücher 1877. Bd. XL.).
373. AN DEN ETATSMINISTER VON BORCKE IN BERLIN.
Borcke berichtet, Berlin 8. Mai: Die Generallieutenants v. Dossow und v. Sonsfeld fragen an, ob sie nicht nach erfolgter Besitzergreifung im Bergischen sofort mit ihren Grenadieren nach Duisburg zurückmarschiren dürfen, da sie einem etwaigen Angriff der pfälzischen Garnison in Düsseldorf nicht gewachsen sein würden. | Lager bei Mollwitz, 15. Mai 1741. Gut. Es ist aber noch nicht die Rede davon. Es siehet noch gar nicht danach aus. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
374. AU MINISTRE D'ÉTAT DE PODEWILS A BRESLAU.
Camp de Mollwitz, 18 mai 1741.
Valory1 a raison. Hé bien, mon ami, hé bien, combien attendronsnous encore pour être les dupes de Vienne et de Londres?
Nach dem eigenhändigen Zusatz zueinem Cabinetsschreibenüber eine Lehnsangelegenheit.
375. AU MINISTRE D'ÉTAT DE PODEWILS A BRESLAU.
[Camp de Mollwitz,] 21 mai 1741.
J'ai vu par votre lettre que vous demandez mes sentiments touchant l'Angleterre.2 J'ai à vous dire que ces gens nous trompent à coup sûr, que la réponse de Robinson à milord Hyndford sera remplie d'unverbiage obscur et qui ne contiendra aucune substance, et qu'alors vous serez obligé de convenir avec moi que le seul bon parti à prendre est celui de France.
1 Unter dem 10. Mai hatte der König denfranzösischen Gesandten in das Hauptquartier beschieden. Vergl. Mémoires des négociations du marquis de Valory II. 231. Valory's Bericht an Fleury, 16. Mai, bei Ranke XXVII. XXVIII, 588.
2 Ueber Hyndfords Verhandlungen mit Podewils nach der Audienz vom 7. Mai vergl. Droysen V, 1, 262. 263.