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dit expressément qu'il me faisait cette insinuation comme de lui-même, quoique j'aie remarqué assez que c'est par ordre qu'il l'a faite.“

 

„Il m'a dit, de plus, en confidence que milord Hyndford a envoyé un courrier à Hanovre pour demander les ordres de sa cour s'il doit encore avec le général Ginkel tenir à Votre Majesté le langage dont la résolution de l'Etat du 24 d'avril parle,1 et, à en juger par le discours qu'il m'a tenu, je crois qu'on y pensera plus d'une fois, si l'on ne laisse pas tomber tout-à-fait la proposition de retirer les troupes de Votre Majesté de Silésie, ce qui montre assez qu'on commence d'avoir peur, ou que l'on ne voudra pas tromper moins la reine de Hongrie, qu'on a fait dans le commencement Votre Majesté.“

Trompez les trompeurs.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


390. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 31. Mai: Si Votre Majesté veut ôter jusqu'aux soupçons la connaissance de Son traité futur avec la France, il faut de toute nécessité qu'Elle tienne encore un ministre à Hanovre pendant le séjour que le roi d'Angleterre y fait. Truchsess étant rappelé, si Plotho revient aussi, comment pourra-t-on ôter au public l'idée que Votre Majesté veut rompre tout commerce avec le roi d'Angleterre par ce double rappel, tandis que ce prince a deux ministres ici?“

Lager bei Grottkau, 2. Juni 1741.

Gut, und sollen an den p. v. Plotho noch 600 Rthlr. aus der Legationskasse gezahlet werden.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs. (Eichel.)


391. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 1. Juni: . . . „Il est certain que, si quelque chose peut tromper les Argus ce sera de faire cantonner l'armée d'observation du prince d'Anhalt, puisqu'alors on croira que nous serons pacifiques comme des agneaux“ ...

Lager bei Grottkau, 3. Juni 1741.

Gut, die Ordre ist schon ergangen, dass die dortige Cavallerie cantonniren soll.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs. (Eichel.)



1 Vergl. Preussische Staatsschriften I, 305 und unten Nr. 398.