<276>widrige Bruits nicht kehren nach solchen einigen Glauben beilegen möge. Wohin dann auch der v. Plotho zu instruiren und dem v. Keller zu antworten ist. Ihr sollet übrigens dieses Mein Schreiben höchstens secretiren und nur allein den Gebrauch vor Euch davon zu machen, den Ihr nach Meiner Euch bekannten Intention vor Meinen Dienst convenabel erachtet, worüber Ich allenfalls Eure Gedanken erwarten werde. Ich bin etc.
Friderich.
P.S. Was Ihr dem Marquis Valory gesaget von den Soupçons, welche dessen Anherokunft anjetzo geben dürfte, solches finde Ich gegründet. Ich sähe auch nicht ab, warum er sich herzubemühen Ursach hätte, wenn er Mir keine andre Nouvelles als die überschriebene zu geben hat, und werdet Ihr demnach solches mit bester Manier gelten machen.
Nach der Ausfertigung.
425. AU CARDINAL DE FLEURY A ISSY.
Camp de Strehlen, 10 juillet 1741.
Monsieur mon Cousin. J'ai vu par une longue lettre du maréchal de Belle-Isle qu'il me presse beaucoup pour accélérer l'élection impériale, et qu'il traîne en longueur les opérations de laguerre. Vous devez savoir, Monsieur, que ce n'est pas ainsi que je l'attends, et que je ne prétends donner ma voix à l'électeur de Bavière que du moment où il agira, et que vos troupes entreront en Allemagne. Ne vous attendez à rien de moi avant que d'avoir agi, et soyez persuadé que, pour que je concoure à l'élection de l'électeur de Bavière, il faut que je sache de science certaine qu'il a commencé ses opérations, et que vos troupes volent à son secours en Allemagne. Voilà sur quoi vous pourrez prendre vos mesures. Je vous avertis en même temps que la Suède n'agit point, et que jusqu'à présent vous n'avez pas satisfait au moindre point de l'alliance. Je suis etc.
Federic.
Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.
426. AU MARÉCHAL DE FRANCE COMTE DE BELLE-ISLE A VERSAILLES.
Camp de Strehlen, 10 juillet 1741.
Monsieur. Je m'attendais à trouver dans votre lettre quelque plan d'opération de guerre, mais j'ai été fort surpris de n'y trouver que des négociations. Je vous déclare donc ici, unefois comme toujours, que vous ne devez vous attendre à rien du tout de ma part, avant que