<365>sujet d'inquiétude, j'ai donné des ordres1 pour faire séparer l'armée sous les ordres du prince d'Anhalt, et je La prie de me croire autant qu'on peut l'être, Monsieur mon Frère, de Votre Majesté le bon frère

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


538. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils bemerkt, nach Empfang der Nachricht von dem Abschluss des französisch-hannoverschen Neutralitätsvertrages, Breslau 1. October: er habe lange vorausgesehen2 „que pareille chose arriverait, et que l'Angleterre obtiendrait la neutralité malgré nous.“

Je m'en ferai un mérite tant bien que mal. Mais pour attraper la France d'une autre côté, je sépare l'armée du prince d'Anhalt.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


539. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 1. October: Graf Törring hat die Ermächtigung erhalten, den preussisch-bairischên Vertrag nach dempreussischen Project zu zeichnen, wofern

 

1. Der König auf die Ueberlassung von Glatz verzichtet;

Ou Glatz ou un équivalent la même force.

2. Die Theile der österreichischen Erbschaft, die nach Massgabe des sächsisch- bairischen Theiiungsvertrages vom 19. Sept. an Baiera fallen sollen, in dem Vertrage namhaft gemacht werden;

Bon, selon le traité de partage.

3. Der König die Verzichtleistung auf die jülich-bergsche Erbschaft wiederholt, wie sie in seinem Vertrage mit Frankreich ausgesprochen ist.

Podewils bemerkt, die Herrschaft Ravenstein werde von dem Verzicht aus- Ravenstein werde von dem Verzicht auszunehmen sein, „parce quelle n'a rien de commun avec les Etats de Juliers et de Bergue, et qu'en vertu de la convention de Van 16703 elle doit revenir à la maison de Brandebourg après l'extinction des mâles de la maison de Neubourg. Ceci est d'autant plus juste que Votre Majesté avait demandé pour Ravenstein la ville de Glatz avec son district, pour

Bon, à condition de Glatz pour Ravenstein.



1 Unter dem 2. October.

2 Vergl. oben No. 500.

3 Vergl. Mörner, Kubrandenburgs Staatsverträge von 1600—1701, S. 337.