69. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.
Wesel, 12 September 1740.
Podewils berichtet, Berlin 6. September: „Il s'agit de savoir pour notre direction si la volonté de Votre Majesté est qu'on instruise Mardefeld qu'en cas qu'il n'eût pas moyen d'obtenir dans les formes la garantie de la succession de Juliers et de Bergue, la Russie s'engage au moins de tenir le dos libre à Votre Majesté contre la Suède, la Pologne et la Saxe, en cas qu'elle fût engagée dans une guerre à l'égard de cet événement.“ | Bon, c'est assez. |
(Berlin 10. September): Der russische Gesandte v. Brackel hat ihm erklärt, seine Kaiserin könne die preussische Erbfolge in Jülich und Berg nicht garantiren, weil die Herzogthümer zu weit von Russland abgelegen. Man muss abwarten, ob nicht Mardefeld durch den Herzog von Kurland die Garantie auswirken wird. | Fort bien, mais l'alliance doit se conclure avec Mardefeld. |
Mündliche Resolution nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs, bez. eigenhändiges Marginal des Königs; das letztere undatirt.
70. AU CONSEILLER PRIVÉ DES FINANCES DE BORCKE A VIENNE.1
Moyland, 13 septembre 1740.
Monsieur de Borcke. Le procédé inoui du prince évêque de Liège m'ayant forcé à des mesures convenables pour le ramener à laraison, je vous envoie quelques exemplaires de l'imprimé qui contient en abrégé les motifs qui m'y ont porté.2 C'est une affaire de prince à prince qu'il ne faut pas regarder comme une de l'Empire, ne s'agissant que de me procurer une satisfaction des injures que ce prince m'a faites. Vous vous servirez de ces pièces, qui seront bientôt suivies des preuves et des éclaircissements nécessaires, pour informer la cour où vous êtes et le public de la justice de ma cause. Je suisetc.
Federic.
Nach der Ausfertigung.
71. AU CONSEILLER PRIVÉ D'ÉTAT BARON DE MARDEFELD A SAINT-PÉTERSBOURG.
Berlin, 13 septembre 1740.3
Votre dépêche du 27 du mois passé m'a été rendue, et j'ai vu qu'on fait toujours des difficultés d'agréer le premier article secret du
1 In simili an den Legationsrath v. Ammon in Dresden; in kürzerer Form an den Oberst v. Camasin Paris und den Residenten v. Borckenfeld in Brüssel.
2 Vergl. oben S. 45 Anm. 1.
3 Abgegangen am 24 September, nach der Rückkehr des Königs vom Rhein.