130. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 2. November, das Ministerium zu Hannover wünsche Abrede zu nehmen, wie lange man um den Tod des Kaisers trauern und die Glocken läuten lassen wird. | Deuil six semaines, et rien de plus. |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.
131. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 2. November: „Le baron de Groschlag, ministre d'État de l'électeur de Mayence, m'est venu voir ce matin, pour me dire que sa maladie l'avait empêché jusqu'ici de se mettre aux pieds de Votre Majesté et de s'acquitter des ordres de son maître pour Elle. Mais il compte d'avoir cet honneur le dimanche ou mardi prochain . . . C'est un homme qui n'est pas neuf dans les affaires . . . Je crois qu'en cajolant un peu ce ministre on pourra s'en servir habilement dans la suite, l'électeur de Mayence étant le doyen du collége électoral.“ | Rheinsberg, 3 novembre 1740. Bon, il faut l'envoyer ici un jour où je n'aurai point de fièvre. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
132. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 4. November: Durch Pollmann in Regensburg sei auf den dortigen Vertreter Baierns zu wirken „pour que l'Électeur fasse quelque levée de boucliers.“ | Bon, envoyez-lui ordre d'agir en conséquence de vos idées. Guarini est allé à Vienne; ils veulent négocier le mariage de la seconde Archiduchesse avec le Prince électoral. J'ai envie de donner ordre à Borcke de semer la zizanie entre le Lorrain et les Saxons. |
Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.
133. AU MINISTRE D 'ÉTAT DE PODEWILS A BERLIN.
Ce 4 de novembre 1740.
Mon cher Podewils. Vous manderez incessamment à Pollmann1 qu'il doit de concert avec Keyserlingk2 rompre la diète de Varsovie, et envoyez-lui 2,000 écus. Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
1 Gemeint ist der Resident Hoffmann.
2 Vergl. oben Nr. 80, 25. Sept.