236. AU MINISTRE D'ÉTAT DE PODEWILS A BERLIN.
ce 31, sur le point de marcher.
Mon cher Charlatan. Vous faites votre métier à merveille, et je crois qu'une couple de conversations avec Guy Dickens de la nature de celles que vous avez eues avec Ginkel167-1 ne feront point de tort à nos affaires. J'avance ici et je compte d'entrer demain, 1er de janvier, à Breslau, et d'être en quinze jours maître de tout le cours de la Neisse.
Nos affaires vont très bien ici, et si votre galbanum se débite bien d'un autre côté, vous pouvez compter que l'affaire est faite. Adieu, mon cher charlatan, soyez le plus habile charlatan du monde, et moi le plus heureux enfant de la fortune, et nos noms ne seront jamais mis en oubli.
Federic.
Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.
167-1 Podewils zeigt dem holländischen Gesandten das Original des Vertrages zwischen Preussen und dem wiener Hofe von 1728, nachdem der Gesandte das Vorhandensein eines solchen Vertrages bezweifelt hat, welcher den wiener Hof hatte verhindern müssen, sich 1738 an dem gemeinsamen Vorgehen der Grossmächte gegen Preussen in der jülich-bergschen Angelegenheit zu betheiligen. Als Ginkel sich durch Augenschein überzeugt, ruft er aus: „Cela est fort, je n'aurais jamais cru la cour de Vienne capable d'une pareille conduite“ (Bericht Podewils', 27. Dec).