crois avoir gagné un point par ceci, puisque maintenant la Reine, bien loin de prendre ombrage des liaisons que je prendrais avec l'Ambassadeur, ne pourra les prendre que comme une suite de ce qu'elle a bien voulu me prescrire ellemême.“ | pour votre direction seule. Au surplus, si vous pouvez vous prendre adroitement avec ce ministre pour lui inspirer des sentiments de modération à l'égard de la cour où vous êtes, vous rendrez à la Reine, ma sœur, également qu'à moi, un service essentiel. Vous remercierez bien obligeamment le baron de Hœpken des communications confidentes qu'il veut bien me faire de ce qui lui revient de Londres touchant ce qui m'en peut intéresser. Federic. |
Nach dem Concept.
6132. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 10. December, über die Antwort des französischen Ministers La Noue an den Chevalier de La Touche:1 „Que le Duc Régnant était sensible au dernier point aux attentions gracieuses de Votre Majesté par rapport au prince Louis son frère, qu'il savait que ce dernier avait eu ces idées-là il y a trois ou quatre mois, mais qu'il lui paraissait entièrement revenu de ce dessein, que le Duc reconnaissait comme entièrement contraire et incompatible avec les véritables intérêts de sa maison, de sorte qu'il se flattait toujours d'en détourner ce Prince, en cas que la même idée devrait lui revenir; que le ministère de Würtemberg pensait de même, surtout le sieur de Hardenberg, qui avait le plus de crédit auprès du Duc, et sur lequel le sieur de La Noue croit pouvoir compter comme sur un ministre bien intentionné.“ | Potsdam, 11. December 1753. Es ist recht sehr gut; weiter verlange Ich nichts, als nur dass der Herzog von der Sache informiret sei, das übrige überlasse ihm lediglich zu seinem eigenen Gefallen und Gutfinden. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
6133. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.
Potsdam, 11 décembre 1753.
Le rapport que vous m'avez fait du 27 dernier, m'a été bien rendu. Comme il en paraît que le ministère anglais ne voudrait plus entendre aucune proposition par rapport à un accommodement à faire sur nos différends et qu'il veut prendre des arrangements subsidiaires avec la
1 Vergl. S. 154.