et a joint aux insinuations qu'il m'a faites pour cet effet, les assurances les plus fortes du désir qu'avait sa cour de pouvoir gagner la confiance de Votre Majesté et de vivre avec Elle dans la plus parfaite intelligence. Le Dauphin et la Dauphine en sont également instruits, et j'ai lieu de supposer qu'ils m'en veulent beaucoup de mal.“ |
Nach dem Concept.
7180. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION COMTE DE SOLMS A STOCKHOLM.
Solms berichtet, Stockholm 23. December, dass in einer Versammlung des Bauernstandes eine Meuterei gegen den Sprecher ausgebrochen sei, und dass beim Verhör die Schuldigen ausgesagt hätten, sie seien vom Könige von Schweden angestiftet worden. | Potsdam, 6 janvier 1756. J'ai vu par votre rapport du 23 de décembre dernier que je ne me suis pas trompé, quand j'ai toujours présumé que, de la manière dont le parti de la cour conduisait le roi de Suède,1 les choses ne sauraient que prendre un très mauvais pli pour ses affaires; mais ce qui me surprend plus encon que cela, c'est que vous ne m'avez point mandé jusqu'ici comment le Roi et la Reine sentaient là-dessus, quoique je vous l'eusse enjoin réitérativement.2 Federic. |
Nach dem Concept.
7181. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.
Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 5. Januar, über eine ihnen von dem Könige zur Aeusserung übergebene Beschwerdeschrift des mecklenburgischen Edelmanns von der Lühe „als bevollmächtigten Deputirten von einigen Amtern und Singulis der Ritterschaft“ , d. d. Wismar 29. December 1755. Eine Minorität der mecklenburgischen Ritterschaft hat in Wien einen Protest gegen den zwischen dem Herzog und dem grösseren Theil der Ritterschaft geschlossenen Erbvergleich3 eingereicht. „Le suppliant, étant un des chefs du parti des opposants, souhaite que Votre Majesté voulût bien charger Ses ministres à | Potsdam, 6. Januar 1756. Es wird am besten sein, ihm nur geradeweg zu antworten, dass Ich Ihnen gerne, so viel Ich könnte, helfen möchte, die Sache aber wäre in Wien bereits zu weit gekommen und stünde auf dem Punkt confirmiret und publiciret zu werden, und also wäre es zu späte, dass Ich noch was gedeihliches ausrichten könnte. |
1 Vergl. Bd. XI, 175. 433.
2 Vergl. Bd. XI, 433. 454.
3 „Landes-grundgesetzlicher Erbvergleich“ , d. d. Rostock 18. April 1755. Gedruckt in Faber, Europ. Staatskanzlei, Bd. 109, S. 169 ff.