Abschrift der Convention mit England, „sans y ajouter cependant l'article secret et séparé de ladite convention, et en enjoignant en même temps audit ministre de ne lire la dernière [la copie de la convention] d'un bout à l'autre qu'en présence du comte de Brühl … Ce qui nous a engagés à devoir prendre cette précaution, c'est que Votre Majesté S'est concertée avec l'Angleterre de ne faire part des susdits engagements in extenso à aucune puissance qu'après que la première en aurait fait part à son Parlement; ce qui ne s'est pas fait jusqu'ici, quoiqu'il se pourrait qu'elle l'eût fait confidemment à la cour de Russie,1 ainsi que Votre Majesté en a usé de la même manière vis-à-vis de la France,2 sans l'avoir communiqué pourtant jusqu'ici à aucun allié ni en Allemagne, ni hors de l'Empire.“ | ohne eine Abschrift davon zu geben, welches er auch so mit dem Grafen Broglie halten kann. |
Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.
7363. AU DUC DE NIVERNOIS, MINSTRE DE FRANCE, A BERLIN.
[Potsdam], 20 mars 1756.
Monsieur. Je vais expédier mon courrier pour Londres, avec la réponse que j'ai reçue de Versailles,3 en donnant à cette négociation la tournure que vous jugez être la plus conforme aux intentions de votre cour. Je vous avoue que je ne m'attends pas que cette pièce fasse une grande impression sur le ministère anglais, et je crains fort qu'on ne s'arrête plus à la forme qu'à la chose. Mais comme il faut donner de l'aliment à cette négociation, j'ai envie de sonder le ministère britannique, pour pressentir s'il serait capable de rendre les vaisseaux français, au cas qu'un tiers voulût lui garantir des articles préliminaires tels que les Français les ont articulés dans leur dernier mémoire, que le duc de Mirepoix, je crois, leur a remis.4
Federic.
Nach der von Nivernois eingesandten Abschrift im Archiv des Auswärtigen Ministeriums tu Paris.
7364. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.
Michell berichtet, London 9. März, auf den Erlass vom 24. Februar,5 dass er dem englischen Ministerium die Ansichten des Königs über die vermeintlichen Rüstungen Schwedens und Dänemarks dargelegt hat: „Cependant, avec cela, leurs soupçons“
1 Vergl. S. 173.
2 Vergl. S. 160. 162.
3 Vergl. Nr. 7364.
4 Vergl. Bd. XI, 168.
5 Vergl. Nr. 7299 S. 142.