<258> Ew. Excellenz an des Königs Majestät darüber zu antworten etwa vor nöthig finden dörften, Höchstderoselben immediate zu adressiren.
Eichel.
Nach der Ausfertigung.
7419. AU PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK A QUEDLINBOURG.
Prinz Ferdinand von Braunschweig übersendet, Magdeburg 9. April, ein Schreiben des regierenden Herzogs von Braunschweig, d. d. Braunschweig 6. April. Der Herzog schreibt über die Aufnahme seiner auf Wunsch des Königs von Preussen dem hannöverischen Ministerium gemachten Eröffnungen:1 „Le ministère d'Hanovre vient de marquer par la poste d'hier au nom du Roi leur maître la sensibilité et reconnaissance parfaite de Sa Majesté sur l'avis secret sur les négociations qui se trament entre les cours de Vienne et de Versailles. Le président de la chambre de Münchhausen ajoute en son particulier : Nos avis nous confirment que le chipotage entre les cours de Vienne et de France continue toujours. Il faut espérer que, lorsqu'on s'apercevra que la cour de France ne voudra entrer dans les vues favorites et principales de la cour de Vienne, on reviendra à ses anciens principes.“
Potsdam, 12 avril 1756.
Monsieur mon Cousin. Je vous sais parfaitement gré de l'attention que vous avez bien voulu me marquer par la communication de la lettre que le Duc régnant votre frère vous a faite, et que je renvoie à la suite de celle-ci. Il convenait d'éveiller le ministère d'Hanovre sur les démarches présentes de la cour de Vienne, pour en être en garde et pour y veiller avec attention, et je vous prie de vouloir remercier le Duc de ma part sur les soins et les peines qu'il s'est donnés à cet égard, et de l'assurer de mon estime et mon amitié invariable.
Au surplus, j'agrée avec plaisir la résolution que vous avez prise aux instances de ma sœur, la princesse Amélie, d'aller pour peu de jours assister à la cérémonie de son intronisation à Quedlinbourg. Je suis avec estime, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse le bon et très affectionné cousin
Federic.
Nach dem Concept.
7420. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.
Podewils berichtet, Berlin 11. April, dass er seine Haltung dem Erbprinzen von Cassel gegenüber nach den ihm zugegangenen Befehlen des Königs abmessen werde.2 „Cependant, je suppose que le Landgrave son père le fera accompagner d'un homme d'esprit, de confiance et d'une certaine autorité, pour | Potsdam, 12. April 1756. Ist alles recht gut. Ich habe dem Landgrafen die Condition gemachet, dass er dem Prinzen einen vernünftigen und zuverlässigen Mann mitgebe, der auf ihn Acht hat, und auf den er sich ver- |
1 Vergl. S. 221.
2 Vergl. Nr. 7413 S. 252.